Bidossessi Gildas DEGBEGNI

MOI : tricia ? pourquoi tu fais ça ? ELLE : parce que je le voulais. MOI : tu ne le connais même pas. ELLE : et ça change quoi au plaisir que je viens de te donner ? hein ? MOI : non, juste que…. Juste. Laisse tomber. Au fait, tu as quel âge toi ? ELLE : 20 ans MOI : 20 ans ??? ELLE : oui. Pourquoi tu t’étonnes ? toi tu as quel âge ? MOI ; c’est pas la peine, merci pour la découverte. J’étais rentrer ce jour-là ayant très mal à la tête. Tout s’était passé comme prévu et papa n’avait pas su à propos de ma sortie. Donc en conclusion, je ne regrettais pas d’être sortie, au contraire. Depuis ce que tricia m’avais fait, je n’arrivais à oublier. J’étais toute fois excité chaque fois et en voulais encore. Sauf que je n’avais ni son numéro, ni de copine. C’était les vacances et je restais dans ma chambre à souffrir injustement. Un mois plus tard, j’avais oublié cette histoire de sexe et ma vie continuait normalement. N’empêche que je ne regarde bizarrement le postérieure bien emballé d’une fille. JACK : tu regardes quoi ? MOI : rien JACK : humm Avec mon père on allait récupérer mon costume chez le tailleur ; celui que j’allais porter lors de la cérémonie d’ouverture de la 3ème entreprise de mon père. J’avais pour habitude de voir cette petite fille là, celle qui se moquait de moi lorsque mon père me grondait. Mais cette fois ci je ne l’ai pas vu, et je demandais doucement au tailleur où elle est. MOI : svp monsieur, votre fille est où ? LUI : ma fille ? MOI : oui, celle qui a l’habitude d’être là. LUI : tu as besoin d’elle ? elle est juste derrière. MOI : ok. J’ai dit à mon père qui était dehors que j’allais uriner, mais suis allé derrière pour la voir. Elle était courbée et lavait le sol. Sans rien dire, je fini de l’observer et me retour pour m’en aller mais… ELLE : vous cherchez quelqu’un ? Mon cœur se mit à battre et sans la regarder, je marchais en lui répondant MOI : non, personne. Nous sommes rentré à la maison et regrettais d’avoir dis à cette fille que je cherche personne. J’aurais du lui parler, j’aurais dû lui demander son numéro, j’aurais dû parler avec elle. mais pourquoi tant de regret ? serais-je entrain de tomber amoureux d’elle ? --- : gines !? La voix de ma mere me fit sortir de mes pensées et je descendais la retrouver au salon. Elle me fit signe que c’est mon père qui veut me parler. MOI : oui ? ANNE : assieds toi là, il vient. JACK : (s’approchant vers moi) c’est quoi cette mine ? tu vas bien ? MOI : oui, ça va. JACK : ok. Tout est annulé. MOI : hein ? quoi ? JACK : ton voyage… ce ne sera plus possible. MOI : quoi ???? et pourquoi ? JACK : tu veux vraiment savoir ? tu as préféré une nuit à ta vie non ? MOI : quoi papa ? je… je ne sais pas de quoi tu parles. Je savais parfaitement de quoi il parlait. Donc il avait su pour ma sortir ? et comment ? et même s’il avait su, c’est par pour autant qu’il allait me punir en annulant mon voyage ! c’était quand même mon futur.. À suivre..

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Bidossessi Gildas DEGBEGNI

ANNE : ton père ne serait pas d’accord. MOI : il ne saura rien. Je l’ai entendue dire au téléphone qu’il rentrera vers 22 h. alors je n’aurais qu’à sortir tôt, genre 19h même. ANNE : je ne veux pas les problèmes avec ton père j’ai dit… MOI : stp stp stp maman, ce serait mon cadeau si tu veux. ANNE : je… MOI : merci, c’est gentil. Il est 18 h, je m’apprête vite fait. J’étais décidé à sortir, qu’on le veuille ou non. Sans compter que c’est presque toute ma salle de classe qui y était. Je suis arrivé et s’était… comment dire ? très surprenant. Des lumières multicolores, une musique à fond, et des filles qui dansaient à moitié nu. MOI : non mais c’est quoi ce bordel ? Me suis-je dit et me retournait pour rentrer. --- : Tiens tiens… le bb au lait est venue et s’en va déjà … MOI : Arnold ? qui est bébé au lait ? vous n’aviez pas dit que ce serait dans un snack ? ARNOLD : et c’est où la différence ? MOI : là on dirait une boite de strip-tease ARNOLD : si les filles dansent à moitié nue, c’est pas pour autant dire que c’est une boite de strip-tease comme tu penses . On peut bien louer un snack et le transformer à notre gout non ? HERMANN : oui, arnold a raison gines. Alors tu viens t’amuser ou y’a ton garde de corps qui vient te chercher ? Je ne pouvais plus rentrer, car voir comment ils me prenaient (pour un bb). Je n’allais pas leur donner raison, alors je me suis mis à table avec eux. Ils buvaient de l’alcool et moi l’odeur m’était insupportable. Quand je voulu me retirer, c’est tout le monde qui m’encourageait à boire. Je l’ai fait, comme si j’en avais l’habitude. Mais les effets n’ont pas tardé à venir, car je me souviens avoir commencé à danser comme un dingo, et les filles qui se frottaient à moi. J’essayais de les échapper mais… ARNOLD : vas-y, c’est une bombe HERMANN : c’est le fire (feu) ! MOI : une quoi ? et qu’est-ce qu’elle veut ? si elle me tue ? ARNOLD : ahahhahaha malade elle veut causer avec toi C’est à cet instant que cette fille inconnue me traîna je ne sais où, mais moi étant tout curieux, je veux bien savoir ce qu’elle veut faire de moi, sans oublier que l’alcool avait réveiller tous mes sens, même les plus endormir. Elle se mit à m’embrasser et me touchait de partout. Je restais sans rien dire et allait à son rythme. C’est ce jour que je su, l’une des causes de l’infidélité dans certains foyers. Tricia venait de me goutter le fruit défendu. Je n’avais presque rien fait, c’est elle qui était au contrôle. J’avais juste ouvert ma bouche, car étonné par ce que je voyais et ressentais. Mais y’avait ce truc que je ne comprenais pas, c’était : A SUIVRE.....

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Bidossessi Gildas DEGBEGNI

#A_QUI_LA_FAUTE Les réceptions qui se passaient à la maison devenaient de plus en plus fréquent, et ma relation avec Miracle était de plus belle amicale. Bien que mama eût reproché papa de m’avoir amené chez ce tailleur ‘’moins bon’’ que le sien, il ne l’écoutait pas, et faisait ce qu’il veut. MOI : papa pourquoi tu fais ça ? tu sais très bien que le tailleur de mama est le meilleur. Si c’était elle, elle m’aurait amenée plutôt chez lui. JACK : enfin tu me pose la question. MOI : quoi ? tu m’attendais depuis avec cette question ? JACK : un peu. MOI : et alors ? JACK : dans l’après-midi tu sauras. MOI : mais, tu peux bien me le dire maintenant non ? JACK : junior ne me fais pas bavarder. MOI : gines. Je ne savais pas de quoi il parlait. Il m’avait dit dans l’après-midi je saurais, mais ça n’avait pas été le cas, au contraire. Toute la journée il n’a fait que me trimbaler, m’envoyer par ci par là. Il m’a fait aller à l’école sans chauffeur (j’ai pris le taxi), il a diminué ma ration, et m’a fait laver sa voiture (chose que je ne faisais jamais). Au final je n’ai pas vu de quoi il parlait, rien de chez rien. JACK : junior ? MOI : gines JACK : tu vas me rappeler ton prénom jusqu’à quand ? je te rappelle c’est moi qui te l’ai donné ce prénom. Mais tant que tu ne te comporte pas comme un vrai GINES je ne t’appellerais pas ainsi. MOI : donc junior c’est pour me punir ? JACK : pas tant que ça. dis-moi, as-tu eu ta réponse ? MOI : non. JACK : ok. MOI : ok ?? j’attends que tu me dises… JACK : si tu n’as pas trouvé, alors c’est que tu n’as pas chercher. Apprends à observer et analyser tout ce que tu vois. Cherche à comprendre ce qui se passe autour de toi. N’attends pas qu’on cherche et qu’on te dise. Alors si aujourd’hui tu n’as pas compris, demain tu vas surement comprendre. Si je te le dis ce serais trop facile pour toi. Cependant le jours que tu sauras, tu me diras. C’est tout. Papa était de plus en plus très dur avec moi, lorsque mama se montrait protectrice. J’avais laissé passer cette période, j’avais essayé de bien voir entre guillemet comme il me disait mais pfff… j’ai abandonné. Puis vint mes 18 ans où j’ai eu mon baccalauréat avec brillo. Tout le monde était fier de moi, mon père encore plus. Je dois dire que j’ai été sous pression, car j’avais pleines de promesses en cours. Déjà je voulais aller continuer mes études à l’étranger et mon père m’avait conditionné « si tu as moins de 13 de moyenne tu restes ici. » chose que je ne voulais pas. Je voulais rester loin de mon père. Au moins la petite sœur de mama qui est en France pourra me laisser faire ce que je veux Samedi, le lendemain du jour des résultats, il y’avait une fête qu’avait organiser mes camarades. Ils ont dit ça allait se passer dans un snack bar, un truc du genre. Je ne connaissais pas ce genre d’endroit, disons que j’avais jamais eu l’occasion de le fréquenter, car toujours des gardiens avec moi, donc s’était impossible. Alors cette fois ci j’avais bien envie d’y aller. Voir mes camarades sortir comme ils veulent m’excitait. Je voulais demander la permission à mon père, mais je savais d’avance qu’il refuserait. Alors je pris la peine de le dire juste à ma mère. A SUIVRE...

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