Good_body Dz

la magie du Sahara algérien on sort de la ville avec la sensation d’être libéré et l'on marche toujours devant soi jusqu’à ce qu'un vent tiède, un ciel bleu un vaste horizon.les passions dans ce pays ne sont pas étrangles par les bornes étroites les regards s’étendent sans rencontrer d'obstacles et l'imagination est encore plus libre que les passions plus étendue que les regards les habitants ne referment pas leurs rêves dans des maisons la poésie de la nature saharienne et la beauté des choses semblent leur avoir fait dédaigner le confort le vent qui souffle sur les étendues désertique les enivre

Good_body Dz

Telle était Alger au temps de sa splendeur et de sa gloire... pour ceux qui ne la connaissent et ne la voient qu'à travers les yeux de ceux qui en ont détruit les deux-tiers durant les premières années de l'occupation coloniale au nom d'une prétendue mission civilisatrice... Hassen El-Wazzane dit Léon l’Africain (qui avait visité Alger entre 1510 et 1517 ) « Elle est très grande, dit il, et fait dans les 4000 feux. Ses murailles sont splendides et extrêmement fortes, construites en grosses pierres. Elle possède de belles maisons et des marchés bien ordonnés dans lesquels chaque profession a son emplacement particulier. On y trouve aussi bon nombre d’hôtelleries et d’étuves (hammam). Entre autres édifices, on y remarque un superbe temple (El-djami’ El-Kebir) très grand, placé sur le bord de la mer, et devant ce temple une très belle esplanade aménagée sur la muraille même de la ville, au pied de laquelle viennent frapper les vagues On voit autour d’Alger de nombreux jardins et des terrains plantés d’arbres fruitiers…Les plaines de la région sont très belles, surtout une que l’on appelle Mettigia qui a une longueur de 36milles et où pousse un blé extrêmement abondant et de première qualité »

Good_body Dz

Fontaines d'Alger : Le génie qui émerveilla les colons (publication d'Alger a une certaine époque). Alger regorgeait d’eau à des époques déterminées. L’appellation «Hydra» est historique et doit remonter à l’occupation byzantine. Si on l’a baptisée «Hydra», d’un toponyme d’origine grecque, c’est parce que ce flanc de montagne de la région d’Alger était riche en nappes phréatiques. En 1834 le général Pierre Berthezène qui participa à l’invasion d’Alger, écrivit : «Dans aucun pays, dit-il, les eaux ne sont recueillies avec autant de soins que dans ces contrées… Sur toutes les routes, on trouve des réservoirs pour les bestiaux et des fontaines pour les hommes aux environs d’Alger, il en est plusieurs (130 environs) décorées de colonnes en marbre blanc. A cette époque, l’alimentation en eau potable d’Alger se faisait au moyen de canalisations, fontaines publiques, puits. Il ne faut pas oublier de parler de l’aqueduc du Télemly, datant de 1550 et construit par Hassan Ibn Khayr Eddine. Long de3 800 m, il reliait Mustapha à la rue Porte-Neuve (Casbah).Parmi les autres aqueducs on a construit encore, en 1573, celui de Birtraria, sous les ordres du Pacha Arab Ahmed. Puis ce fut l’aqueduc du Hamma, achevé en 1611, et l’aqueduc Aïn Ezzabudja (XVIIIe siècle). Aussi, en 1830, les nouveaux occupants firent la découverte de quatre citernes de 70 m3 chacune et des vestiges d’un aqueduc ancien. Les sources citées avaient acquis une renommée et avaient fait l’objet d’aménagements nécessaires. Ce fut le cas de la source naturelle, qui alimentait sans cesse l’Amirauté, construite en 1765 par Dey Ali Pacha. Elle n’était pas loin de l’endroit où les Espagnols avaient construit leur Pénon (1510). Il en fut de même de la fontaine installée dans la cour intérieure de la Grande Mosquée d’Alger.La fontaine du Hamma, sur la route conduisant à Kouba, était à l’endroit où s’est créé le jardin d’Essais. Cette fontaine, construite par Dey Baba Ali vers 1773, avait recréé la vie. Son eau limpide et fraîche attirait pendant le Ramadhan : femmes et enfants y venaient remplir leurs gargoulettes.La fontaine de la place Bab Azzoun doit remonter à loin dans le temps. Elle se situerait près du marché qui surplombe la rue. Parmi celles qui sont éloignées du centre d’Alger, Tixeraïne a retenu l’attention de tous pour sa fontaine particulière, laquelle a bénéficié d’une édification par Hassan Pacha.

1  
2
1 2